(à lire : "le Parfum" - Patrick Süskind)
Je n'ai pas ce que l'on peut appeler un bon odorat.
Il y a certaines odeurs impérieuses qui ne me dérange pas, et d'autres que je ne perçoit tout simplement pas.
Pourtant je peux reconnaitre la cannelle ou la bergamote dans un parfum sophistiqué, et percevoir l'odeur de certaines personnes comme s'il s'agissait d'un parfum capiteux.
Et puis il y a les souvenirs olfactifs, ces parfums qui vous stoppent dans votre course.
Peu d'odeurs me font cet effet-là, mais lorsque je les perçois, elles monopolisent mon attention, et je ne peux que m'immobiliser, fermer les yeux et revivre les souvenirs qui y sont liés ...
Parfois même cela me fait venir les larmes aux yeux.
Le parfum "Fahrenheit" est de ceux-là.
Moi - "J'aime beaucoup ton parfum"
Lui - "Je n'en porte pas"
Moi - "Alors c'est ton odeur que j'aime"
...
Lui - "Ahlala ... le pouvoir des phéromones ..."
(Message perso : 0.20 = Tocard !)
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